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Doux et sec comme du bois, Cette barbe de quelques jours Est aussi douce Que sa voix. De ce frottement, Ses petits pics me hantent Et me tente à recommencer. De ce geste, la sensation Sur ma peau me fait frissonner. Ce contact, donné comme une caresse, S’ancre en profondeur Comme un chat à son aise, Tout en longueur,   De sa fourrure féline. De cette pilosité orpheline, Se cache dans une forêt La fragilité et la douceur de vivre, Ce qui amène, de cette main, tant de délicatesse dans les airs Pour apaiser l’ivresse humaine déséquilibrée.

Ceci n’est pas une scène de torture, Juste une scène d’un baiser volé et voilé. Entre yeux bandés et visage masqué, L’homme n’agit pas Et la femme profite. Il reçoit toutes sensations Qu’il le laisse frémir de plaisir. Elle parcourt le corps tout en long En s’imprégnant des parties Les plus marquantes et désirables. Entre vérité et songe, Le fantasme s’installe. L’être masculin n’est que chose souhaitée et aimée Par la personne féminine, Charmée par tant de beauté Et emportée par des rê

Intro 25 sec Couplet 1 Twenty years have passed God watch your loved ones Your fans still sing your songs They still believe in you even though you are dead You are their hero for eternity Pont 1 Our fairy king, our friend He lives forever, he is made in heaven For a beautiful day on the Earth For take everyone in paradise Refrain 1 x2 He is a kind of magic, a prince of the universe Who don't lose his head He is my best friend very ga ga A king for his fans, a loved one for his friends and his family Couplet 2 You are spreaded your wings for a long time Our life must go on without you But we still think of you Don't s

Doux et sec comme du bois, Cette barbe de quelques jours Est aussi douce Que sa voix. De ce frottement, Ses petits pics me hantent Et me tente à recommencer. De ce geste, la sensation Sur ma peau me fait frissonner. Ce contact, donné comme une caresse, S’ancre en profondeur Comme un chat à son aise, Tout en longueur,   De sa fourrure féline. De cette pilosité orpheline, Se cache dans une forêt La fragilité et la douceur de vivre, Ce qui amène, de cette main, tant de délicatesse dans les airs Pour apaiser l’ivresse humaine déséquilibrée.

Ceci n’est pas une scène de torture, Juste une scène d’un baiser volé et voilé. Entre yeux bandés et visage masqué, L’homme n’agit pas Et la femme profite. Il reçoit toutes sensations Qu’il le laisse frémir de plaisir. Elle parcourt le corps tout en long En s’imprégnant des parties Les plus marquantes et désirables. Entre vérité et songe, Le fantasme s’installe. L’être masculin n’est que chose souhaitée et aimée Par la personne féminine, Charmée par tant de beauté Et emportée par des rê

Blanche comme la lune, Ta peau est d’une douceur Que j’ai tant rêvé d’une. Ta constellation sur ton dos Révèle ta pudeur Et ta vie d’ado. De cette beauté cachée, Le bleu ciel de tes yeux Me plonge dans ta sincérité Et rend le monde plus merveilleux. Ton odeur si particulière Me rappelle une forêt Où se rencontre Silence et mystère. Et de tes cheveux sombres, Aussi roux qu’un crépuscule, Me ramène à des goûts minuscules Qui sont aussi croquants et craquants Que toi. -- Cette vaste dune Se confond avec tes grains : Les compag

Ô mon petit rayon de soleil, Mon âme s’émerveille De lumières dans mon ciel. Tu es chaud, Je te sens sur ma peau Le long de mon dos. Cachés par des voiles, Tes cieux sont illuminés de mes étoiles Telles que les couleurs De mon cœur. Lorsque les cloches sonnent, Je m’abandonne De mes sorts Pour arriver sur ton corps. A terre, Rencontre de nos lèvres : Une flamme naissante Qui devient entraînante, Nous consument très rapidement En ne faisant qu’un. Nuit et jour d’un temps arrêté, La Lune et le Soleil, ces deux astres attir&ea

Petite hirondelle, Déploie tes ailes Et tu voleras dans le ciel. La vie n’est pas éternelle Mais chaque vie vaut la peine D’être belle : profites-en Avant qu’il est temps. Rebelle-toi pour ta cause qui est tienne Jeune demoiselle, Car une guerre de haine S’approche et il n’y aura plus de paix. Plus d’amours Et de compagnons pour toujours Des soldats sans émotions Au fil des saisons. Bat-toi pour ta liberté, Continue d’avancer dans ta lancée. Avec ou sans armée, Tu vas y arriver : Tous les espoirs Se cachent dans le noir Mais ils grandissent dans le s

Beaucoup d’erreurs et de pleurs, J’ai tellement peur. Je veux de la douceur Pour mon cœur. Avant que je sors, Que mon âme dort Et que mon esprit soit en dehors De mon corps. Cœur de terre, corps de pierre. Esprit au ciel, âme en mer. Perdue en ces lieux, Toujours à la recherche des cieux Pour que je sois et que je me sente mieux En ne faisant qu’un En moi avec toi.

Quelle froideur De ne pas sentir Cette nouvelle chaleur. Que dire De cette douleur Sans souffrir De cette ardeur De frémir Au cœur A quoi bon de rire Si j’en pleure !

Un fort silence Qui m’influence D’écrire sans force Et de ne pas faire voler ma lance Dans la naissance de l’ignorance Pour l’importance De ma conscience Et de mes sens Ce serait atroce !

Rien ne se passe depuis hier Comme ces jours d’hiver Qui s’en vont dans l’air Sans prendre un verre.